OMME promis je reprends les programmes TV, du moins les films en
première diffusion, classés par jour et par heure, et agrémentés d'une
petite note et d'une petite note (!).
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Samedi 09h05 Canal+
PRINCE VALIANT
de Anthony Hickox
1997 - 1h27 - Irlande, Allemagne - VF/VO ("Prince Valiant / Prinz Eisenherz")
scénario : Anthony Hickox, Carsten H.W. Lorenz
photographie : Roger Lanser
musique : David Bergeaud
producteur : Carsten H.W. Lorenz, Constantin Film Produktion
avec : Stephen Moyer, Katherine Heigl, Thomas Kretschmann, Edward Fox Warwick Davis, Ron Perlman, Joanna Lumley, Zack Galligan, Udo Kier
-> o (pst)
Fauché comme les blés, pas un rond pour le petit père Hickox, et des acteurs aussi expressifs que de jeunes débutants dans une sitcom de TF1. Une petite mention aux seconds rôles quand même. Il y'a bien quelques petits passages pour prêter à rire, mais pas beaucoup. Typiquement un film d'exploitation, pour profiter d'un éventuel regain d'intérêt du public pour la chevalerie (ça serait pas sorti juste avant "Coeur de dragon" ou un autre dans le genre ?), fait à la va-vite, curieux qu'il soit sorti en salle, généralement ces films vont directement en vidéo.
Samedi 23h05 Canal+
FANTÔMES CONTRE FANTÔMES
de Peter Jackson
1996 - 1h44 - Nouvelle-Zélande, États-Unis - VF/VO - 2.35:1 ("The Frighteners")
scénario : Peter Jackson, Frances Walsh
photographie : John Blick, Alun Bollinger
musique : Danny Elfman
producteur : Peter Jackson, Jamie Selkirk, Frances Walsh, Robert Zemeckis
avec : Michael J. Fox, Trini Alvarado, Peter Dobson, Jeffrey Combs, Dee Wallace-Stone, Jake Busey, John Astin, R. Lee Ermey, Melanie Lynskey, Peter Jackson
-> *** (M)
L'un des bons films Hollywoodiens de 96, les studios font appel à l'excellent néo-zélandais Peter Jackson (Bad Taste, Braindead et Heavenly Creatures) pour mettre en scène une nouvelle (énième) histoire de fantômes. Plutôt qu'un véhicule à effets spéciaux (très réussis par ailleurs), Peter Jackson a les mains suffisamment libres (il coécrit le scénario) pour ajouter son grain de sel. Du coup le film est beaucoup plus vicieux qu'il en a l'air, les gags portent vers la satire assez méchante (essentiellement d'Hollywood, les tueurs ne vous ont-ils pas fait penser à "Tueurs nés" ? et Lee Ermey qui reprend son rôle de sergent instructeur ?), le beauf (ma barrière, il m'a cassé ma barrière, grand moment !), les petites villes, les prêtres, tout le monde en prend un peu pour son grade. Michael J. Fox, en exorciste pas si bidon que ça mais désabusé est excellent, certains personnages sont carrément ravageurs, notamment Jeffrey Combs (si si vous connaissez, Herbert West Reanimator) dans le rôle de l'enquêteur du FBI sadique au look hitlérien. Même si tout le film n'est pas au même niveau, le rythme est parfois un peu mollasson, "Fantômes contre fantômes" reste un excellent divertissement satirique, parfois bien acide, et sans la moindre niaiserie, on retrouve ici l'esprit d'un "Beetlejuice".
Dimanche 20h55 TF1
LEVY ET GOLIATH
de Gérard Oury
1987 - 1h45 - France - CP ("Levy et goliath")
scénario : Gérard Oury, Danièle Thompson
photographie : Valdimir Ivanov
musique : Vladimir Cosma
producteur : Alain Poiré
avec : Richard Anconina, Michel Boujenah, Jean-Claude Brialy, Souad Amidou, Maxime Leroux, Sophie Barjac, Maurice Chevit, Ticky Holgado, Robert Hossein, Evelyne Didi
-> o
Un film qui est drôle quand il ne devrait pas, et dont tout les gags volontaires tombent à plat. Tout ce qui se veut plus sérieux (vous savez ? le moment où il faut pas se moquer...) tombe dans la franche caricature, et surtout dans le ridicule. Et que Boujenah ne joue pas bien... À oublier.
Dimanche 21h00 France2
LA CRIME
de Philippe Labro
1983 - 1h45 - France ("La crime")
scénario : Philippe Labro, Jean-Patrick Manchette, Jacques Labib
photographie : Pierre-William Glenn
musique : Reinhardt Wagner
producteur : Films A2
avec : Claude Brasseur, Gabrièle Lazure, Jean-Louis Trintignant, Dayle Haddon, Jean-Claude Brialy, Robert Hirsh
-> o
Vu et revu, toujours la même comptine, tous pourris au gouvernement et les honnêtes, les intègres, ne peuvent pas s'en sortir. Et voilà que le flic ni tout noir ni tout blanc et la joli journaliste s'en mêlent. Malgré un scénario de Manchette le film ne décolle jamais, ne sort jamais des rails bien huilés du polar politico-financier. De plus la réalisation de Labro ne brille pas par son inventivité, c'est plat et sans saveur.
Dimanche 22h45 TF1
BLEU COMME L'ENFER
de Yves Boisset
1986 - 1h40 - France - CP ("Bleu comme l'enfer")
scénario : Yves Boisset, Jean Herman, Sandra Majerowicz, d'après Philippe Djian
photographie : Dominique Brenguier
musique : Pierre Porta
producteur : France 3 cinéma, Garance Films
avec : Lambert Wilson, Tchéky Karyo, Agnès Soral, Myriem Roussel, Benoit Régent, Sandra Montaigu
-> *
Hé hé, on se croirait dans un mélange de Sailor et Lula et de 37,2 le matin. Yves Boisset en rajoute des tonnes, suit la ligne bien tracée du polar marginal et déjanté, du coup ça sent le réchauffé, le déjà vu. On dirait un punk qui aurait fait faire sa crête chez un grand coiffeur, le rebelle est trop bien peigné. Dommage pour les acteurs (pourtant d'habitude je suis pas fan de Wilson) qui s'en sortent plutôt bien.
Dimanche 00h05 France3
LE JOUR SE LÈVE
de Marcel Carné
1939 - 1h26 - France ("Le jour se lève")
scénario : Jacques Prévert, Jacques Viot
photographie : Curt Courant, Philippe Agostini, André Bac
musique : Maurice Jaubert
producteur : Vauban productions
avec : Jean Gabin, Jacqueline Laurent, Arletty, Jules Berry, René Génin, Bernard Blier, Jacques Baumer, Marcel Pérès, Gabrielle Fontan
-> *** (M)
Le meilleur film, amha, du tandem Carné / Prévert, un tandem très bien secondé par Curt Courant à la photo, Alexandre Trauner aux décors, et des comédiens un peu plus "retenus" que d'habitude, même Arletty, c'est pour dire. Sans perdre son ton poétique, le film gagne en réalisme par sa noirceur. Les nombreux seconds couteaux apportent beaucoup au film. Un classique souvent diffusé, dont le remake par Anatole Litvak est programmé la semaine prochaine. À voir.
Lundi 20h30 Canal+
MARQUISE
de Véra Belmont
1997 - 1h58 - France ("Marquise")
scénario : Véra Belmont, Marcel Beaulieu, Jean-François Josselin
photographie : Jean-Marie Dreujou
musique : Jordy Savall
producteur : Véra Belmont
avec : Sophie Marceau, Bernard Giraudeau, Lambert Wilson, Patrick Timsit, Thierry Lhermitte, Anémone, Marianne Basler, Georges Wilson
-> Pas vu.
Lundi 20h45 Arte
SOLEIL TROMPEUR
de Nikita Mikhalkov
1994 - 2h35 - France, Russie - VO ("Utomlyonnye solntsem / Utomlionie solntsem")
scénario : Rustam Ibragimbekov, Nikita Mikhalkov
photographie : Vilen Kalyuta
musique : Edouard Artemyev
producteur : Michel Seydoux, Nikita Mikhalkov
avec : Oleg Menshikov, Nikita Mikhalkov, Ingeborga Dapkunaite, Nadezhda Mikhalkova, André Oumansky, Vyacheslav Tikhonov
-> *** (M)
Du bonheur frivole quand on est du bon coté de la barrière, c'est à dire un ancien héros de la révolution dans les petits papiers de Staline, on peut devenir rapidement une des victimes des purges Stalinienne. Le but de Mikhalkov était de montrer à quel point personne n'était à l'abri du tyran paranoïaque, que du jour au lendemain, tout pouvait basculer. Mais alors pourquoi s'étaler sur plus de deux heures et demi, malgré l'extraordinaire performance de la fille même de Mikhalkov (Nadezhda / Nadia) les premières 90 minutes sont trop longues, la mise en place devient fastidieuse, interminable. C'est sur qu'après des années à ne pouvoir rien dire, Mikhalkov avait besoin de se défouler, et la seconde partie est, à ce titre, extraordinaire, la tension est constante, l'horreur omniprésente. Le but est atteint, mais au prix d'un peu d'ennui.
Lundi 20h50 M6
MAINTENANT ON L'APPELLE PLATA
de Giuseppe Colizzi
1972 - 1h40 - Italie - VF - CP ("Più forte, ragazzi !")
scénario : Barbara Alberti, Amadeo Pagani
photographie : Marcello Mascicchi
musique : Guido De Angelis, Maurizio De Angelis
producteur : Italo Zingarelli, Embassy Pictures
avec : Terence Hill, Bud Spencer, Carlos Muñoz, Ricardo Pizzuti Reinhard Kolldehoff, Marcello Verziera, Cyril Cusack
-> o
Le tandem Hill/Spencer en vedette, une mise en scène lourde, même plus le charme du western spaghetti et ses gunfights exagérés, franchement, je préférais quand il s'appelait Trinita.
Lundi 20h50 France3
PARIS BRÛLE-T-IL ?
de René Clément
1966 - 2h39 - France ("Paris brûle-t-il ?")
scénario : Francis Ford Coppola, Gore Vidal, Marcel Moussy, Beate von Molo
photographie : Marcel Grignon
musique : Maurice Jarre
producteur : Paul Graetz
avec : Jean-Paul Belmondo, Charles Boyer, Leslie Caron, George Chakiris, Jean-Pierre Cassel, Bruno Cremer, Claude Dauphin, Alain Delon, Kirk Douglas, Glenn Ford, Pierre Dux, Gert Fröbe, Yves Montand, Robert Stack, Jean-Louis Trintignant, Orson Welles, Claude Rich, Simone Signoret, Michel Piccoli, Anthony Perkins, Daniel Gélin
-> **
Reconstitution historique à l'américaine, pleine de stars, de gloire, de coup d'éclat, c'est un genre à part entière où le réalisateur a peut-être un peu de mal à exercer tout son talent (et René Clément en a tout de même un peu :) Reste que ce genre de film, malgré ses défauts (le héros est lisse et sans faille, la fibre patriotique doit vibrer à tout prix), je ne peut pas m'empêcher d'y jeter systématiquement un coup d'oeil. Peut-être parce que le film est rempli de visages connus, c'est toujours assez ludique de reconnaître une star dans un petit rôle. Quand je pense que le scénario fut confié à Coppola qui ne connaissait rien à la libération de Paris (une erreur des producteurs), et qui du passer plusieurs mois à se documenter au maximum pour pouvoir écrire quelques lignes...
Lundi 22h40 M6
PENSÉES MORTELLES
de Alan Rudolph
1991 - 1h45 - USA - VF - CP ("Mortal Thoughts")
scénario : Claude Kerven, William Reilly
photographie : Elliot Davis
musique : Mark Isham
producteur : Mark Tarlov, John Fielder, Demi Moore, Columbia Pictures
avec : Demi Moore, Bruce Willis, Glenne Headly, John Pankow, Harvey Keitel, Billie Neal
-> **
Alan Rudolph est un fana du polar psychologique, situations conflictuel- -les, frêle barrière entre l'innocence et la culpabilité, complicité, ces sujets ne lui font pas peur. Ici, bien servi par des comédiens excellents (oui oui, même Demi Moore), Rudolph mêle assez adroitement ses thèmes favoris à ceux d'un polar classique, malheureusement parfois si classique qu'il laisse s'installer quelques clichés, un peu de déjà vu, et oublie qu'une mise en scène plus inventive, est parfois un bon moteur pour amener le spectateur jusqu'au bout. Ce n'est pas que je souhaitais voir se relever 200 fois le méchant avant qu'il finisse par mourir (c'est une image :), de toute façon le film offre quelques sympathiques révélations, distillées petit à petit, mais une route un peu plus sinueuse, quelques ornières, peut-être une étude psychologique un peu plus fouillée de ces personnages a priori "comme tout le monde", n'auraient pas fait de mal à ce polar à la frontière entre le lisse et le rugueux. Ceci dit, c'est nettement au dessus de la production standard, mais méfiez vous quand même du doublage en français, qui, si je me souviens bien, est très moyen.
Mardi 20h50 TF1
RIENS DU TOUT
de Cédric Klapisch
1992 - 1h33 - France ("Riens du tout")
scénario : Cédric Klapish
photographie : Dominique Colin
musique : Jeff Cohen
producteur : Adeline Lecallier, Alain Rocca
avec : Fabrice Luchini, Jean-Pierre Darroussin, Marc Berman, Daniel Berlioux, Odette Laure, Marc Maury, Antoine Chappey
-> **
Cédric Klapish est habile quand il s'agit de filmer les "petites gens", les riens du tout, mais le film, construit avec une série de sketches, manque un peu de liant. L'aspect humaniste est parfaitement rendu, c'est à dire que l'on prends facilement fait et cause pour les petits face aux conseil d'administration, mais, en même temps, Klapisch n'oublie jamais de glisser une ou deux petites piques vers ces "petits", ce qui rends la comédie plus amère et donc plus réussie. Reste les "grands", Luchini qui encore une fois tire la couverture à lui, était-il l'interprète idéal pour ce rôle, je ne veux pas dire par là qu'il joue mal, mais son personnage parait plus avoir été adapté à sa propre personnalité que le contraire, ce qui peut être gênant, je n'y ai pas beaucoup cru à son interprétation du PDG. En tout cas, ça ne manque pas d'une certaine finesse, et de beaucoup d'esprit.
Mardi 21h00 France2
POUR LA PEAU D'UN FLIC
de Alain Delon
1981 - 1h50 - France ("Pour la peau d'un flic")
scénario : Alain Delon, Christopher Franck, d'après Jean-Patrick Manchette
photographie : Jean Tournier
musique : Oscar Benton
producteur : Alain Delon
avec : Alain Delon, Daniel Ceccaldi, Anne Parillaud, Mireille Darc, Michel Auclair, Etienne Chicot, Brigitte Lahaie, Annick Alane
-> *
Efficace, mais presque trop, Delon par ci, Delon par là, Delon partout, ça va cinq minutes mais ça devient rapidement pénible. Delon, en plus réalisateur, masque le film de sa présence assez envahissante, modifie le scénario pour s'en faire un manteau à sa taille, sans oublier les multiples conventions du genre (polar américain à la française), en multipliant les cascades de Rémi Julienne, les histoires de policiers corrompus, etc. Bref, encore du vu et revu, manque d'originalité total.
Mardi 22h35 TF1
ESCORT GIRL
de Bob Swaim
1986 - 1h30 - Grande-Bretagne - VF - CP ("Half Moon Street")
scénario : Bob Swaim, Edward Behr, d'après Paul Theroux
photographie : Peter Hannan
musique : Richard Harvey
producteur : Geoffrey Reeve
avec : Sigourney Weaver, Michael Caine, Patrick Kavanagh, Faith Kent, Ram John Holder, Keith Buckley, Ann Hanson, Patrick Newman
-> **
L'histoire est assez abracadabrante, une jeune femme qui a tout, en veux plus, et devient escort girl, cultivée, charmante, elle a beaucoup de succès, elle devient l'amante de Lord Bulbeck. À partir de là, une histoire d'espionnage banale vient se greffer à grand coup de serpe sur le film, et, du coup, on tombe dans une plus grande... banalité. Mais, le film a d'autres attraits, la mise en scène est efficace, pas vraiment brillante (il est difficile de se souvenir de scènes vraiment remarquables) mais au moins elle n'est pas racoleuse (pas autant que dans "La balance", autre film de Bob Swaim). Surtout, c'est le couple Michael Caine / Sigourney Weaver qui emporte la palme, tout à fait crédibles dans deux rôles pas si simples, ce qui donne un peu de crédit à l'histoire, et le film en a bien besoin. Attention quand même, la VF est catastrophique.
Mardi 22h50 France2
LE CHOC
de Robin Davis
1982 - 1h35 - France ("Le choc")
scénario : Alain Delon, Robin Davis, Dominique Robelet, d'après le roman de Jean-Patrick Manchette
photographie : Pierre-William glenn
musique : Philippe Sarde
producteur : Alain sarde, Alain Terzian
avec : Alain Delon, Catherine Deneuve, Philippe Léotard, Stéphane Audran, Etienne Chicot, Catherine Leprince
-> o
C'est un spécial Jean-Patrick Manchette cette semaine ? Je ne sais pas si c'est un hommage, mais peut-être aurait-il mieux valu parler de ses bouquins, plutôt que des navets boursouflés qu'on en a tiré. J'ai presque envie de reprendre les même commentaire que pour "La crime" et "Pour la peau d'un flic", que le héros soit un flic, un privé, ou un tueur, c'est toujours la même histoire. Ici, le film voulait utiliser la présence du couple Delon / Deneuve comme argument promotionnel, il aurait mieux valu les utiliser d'abord comme acteur et actrice...
Mercredi 09h00 Canal+
LE TESTAMENT D'ORPHÉE
de Jean Cocteau
1960 - 1h23 - France ("Le testament d'orphée")
scénario : Jean Cocteau
photographie : Roland Pontoiseau
musique : Martial Solal, Georges Aurix, + classique
producteur : Jean Thuillier
avec : Jean Cocteau, Jean Marais, Edouard Dermit, Maria Casarès, Pablo Picasso, Charles Aznavour, Henri Crémieux, Yul Brynner
-> Pas vu.
Désolé, mais après "Orphée", j'ai jamais eu le courage, c'est pas dans mes habitudes pourtant.
Mercredi 22h40 Canal+
EMBRASSE-MOI PASQUALINO
de Carmine Amoroso
1996 - 1h34 - Italie, France - VF/VO ("Come mi vuoi")
scénario : Carmine Amoroso
photographie : Raffaele Mertes
producteur : Canal+, Mediaset
avec : Vincent Cassel, Enrico Lo Verso, Monica Bellucci, Memé Perlini, Massimo Bulla, Francesco Casale, Andrea Berardicurti, Marco Reyer
-> Pas vu.
Mercredi 00h35 Canal+
LA VIE SILENCIEUSE DE MARIANNA UCRIA
de Roberto Faenza
1996 - 1h48 - France, Italie, Portugal - VF/VO ("Marianna Ucrìa")
scénario : Roberto Faenza, Sandro Petraglia, d'après un roman de Dacia Maraini
photographie : Tonino Delli Colli
musique : Ennio Morricone, Franco Piersanti
producteur : Elda Ferri, Rita Cecchi Gori, Vittorio Cecchi Gori
avec : Emmanuelle Laborit, Bernard Giraudeau, Laura Morante, Laura Betti, Philippe Noiret, Eva Grieco, Roberto Herlitzka
-> *
Étant intéressé de près par la langue des signes, j'ai trouvé dans ce film quelques éléments propres à satisfaire mon intérêt, mais sinon, pour le reste, c'est d'un mou, mais d'un mou, que c'en est soporifique.
Jeudi 20h30 Canal+
LES VIRTUOSES
de Mark Herman
1996 - 1h47 - Grande Bretagne, États-Unis - VF/VO ("Brassed Off")
scénario : Mark Herman
photographie : Andy Collins
musique : Trevor Jones
producteur : Steve Abbot, Channel Four, Miramax
avec : Pete Postlethwaite, Ewan McGregor, Tara Fitzgerald, Jim Carter, Kenneth Colley, Mary Healey, Melanie Hill
-> ***
Le film anglais social à ses perles, celui ci en est une, petite, là où Mark Herman excelle c'est plus dans le scénario que dans la mise en scène très sage, mais peut-être est ce nécessaire. Il dépeint ses personnages avec beaucoup de tendresse et de justesse, et surtout avec beaucoup d'humour. Dommage que Herman insiste parfois un peu lourdement sur l'injustice de la fermeture des mines, ce n'était pas nécessaire, l'idée, le message, est de toute façon présent tout au long du film. On peut acclamer (si si allez, tapez dans vos mains) la belle performance de Pete Postlethwaite, et se demander pourquoi avoir rajouté cette romance entre Ewan McGregor et Tara Fitzgerald (deux acteurs à la mode en plus), qui n'apporte pas grand chose au film. De toute façon, c'est avant tout une comédie sociale, et dans cette optique, elle est plutôt réussie. VO indispensable, bien sur.
Jeudi 20h50 M6
GARDE À VUE
de Claude Miller
1981 - 1h25 - France ("Garde à vue")
scénario : Michel Audiard, Claude Miller, Jean Herman, d'après le roman de John Wainwright
photographie : Bruno Nuytten
musique : Georges Delerue
producteur : Georges Dancigers, Alexandre Mnouchkine
avec : Michel Serrault, Lino Ventura, Guy Marchand, Romy Schneider
-> ***
Vu, revu, re-revu, n'empêche que ce film est toujours passionnant, on pardonne aisément le coup de pub, qui, à l'époque, mettait Romy Schneider en vedette (alors qu'elle fait une courte apparition), et surtout on apprécie les dialogues d'Audiard, jamais barbant, surtout que l'excellent Guy Marchand est là pour détendre l'atmosphère de temps à autre. Un film remarquablement construit, qui, en plus d'une confrontation mémorable entre monstres sacrés (qui réussissent à ne jamais prendre la place de leurs personnages), apporte un peu d'eau au moulin de ce qui luttent contre les interrogatoires un peu trop serrés, même si c'est accessoire (quoique, le titre est quand même parlant).
Jeudi 21h05 France3
L'HOMME LE PLUS DANGEREUX DU MONDE
de J. Lee Thompson, aka Jack Lee Thompson
1969 - 1h42 - Grande-Bretagne, États-Unis - VF ("The Chairman")
scénario : Ben Maddow, d'après le roman de Jay Richard Kennedy
photographie : Ted Moore, John Wilcox
musique : Jerry Golsmith
producteur : Mort Abrahams, 20th Century Fox
avec : Gregory Peck, Anne Heywood, Keye Luke, Eric Young, Arthur Hill, Alan Dobie, Wienia Merton, Fransisca Tu, Burt Kwouk
-> *
Film de propagande anti-Maoiste primaire, mais une fois cet aspect mis à part, un film d'espionnage et d'action rondement mené, sans temps mort, avec ce qu'il faut de suspens. Distrayant, sans plus.
Jeudi 22h45 Arte
LE CONTE DES TROIS DIAMANTS
de Michel Khleifi
1994 - 1h50 - Palestine, Grande-Bretagne, Belgique - VO ("Le conte des trois diamants")
scénario : Michel Khleifi
photographie : Raymond Fromont
musique : Abed Azrié
avec : Mohammad Nahhal, Hana'Ne Meh, Ghassan Abu Libda, Makram Khouri
-> Pas vu.
Vendredi 23h40 Arte
L'ESCLAVE DE L'AMOUR
de Nikita Mikhalkov
1976 - 1h30 - Union Soviétique - VO ("Raba Lyubvi")
scénario : Friedrich Gorenstein, Andrei Mikhalkov-Konchalovsky
photographie : Pavel Lebeshev
musique : Edouard Artemyev
producteur : Mosfilm
avec : Elena Solovey, Nikita Mikhalkov
-> Pas vu.